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| Sujet: Tanoshi Kyoharu Lun 8 Juin - 20:50 | |
| ••• Moi, c'est Tanoshi Kyoharu&& voici l'histoire de ma vie. | SURNOM: Kyo; Haru; Tanoshi-sama ♥ ÂGE : 17 ans SEXE : Mâle NATIONALITÉ : Japonaise ORIGINE : Japonaise GROUPE : Students ORIENTATION SEXUELLE : Homosexuel FAMILLE :Ma famille ? ... Moi. Mon père nous a laissés, ma mère et moi, quand j'avais même pas deux ans, il était bien trop volage pour rester avec une seule femme. Ma mère m'a détesté pour lui ressembler, déjà qu'elle devait supporter mon physique. Elle a préféré se donner la mort plutôt que me voir encore. Elle m'a laissé tout son argent et une lettre, « cette » lettre. Elle a fait un feu avec tous les souvenirs que j'aurais pu garder d'elle. Finalement, je ne lui en veux pas. Je le remercie même d'avoir été si gentille avec moi pendant dix-sept ans, d'avoir su faire la différence entre lui et moi tout ce temps. |
••• Je suis attentioné, agréable mais distant. PSYCHOLOGIQUE : « Humain », c'est certainement le mot qui le décrit le mieux. Bien que Kyoharu soit froid et distant – et même méfiant – au premier abord, il ressent et sait faire ressentir une multitude de sentiments. Il est très difficile à aborder à cause de sa phobie sociale bien encrée en lui, mais si vous le connaissez, c'est un être tout à fait adorable. Un peu enfantin, il aime s'amuser, rigoler, et est toujours très attentif à ce qui l'entoure. Il essaye toujours de prendre soin au mieux des rares personnes qu'il apprécie, son côté très observateur l'aidant parfois. Il adore aussi toute forme de tendresse, mais a tendance à être gêné – et donc rougir par la même occassion, la plupart du temps – pour pas grand chose, s'il ne fuit pas, bien sûr. Mais monsieur est aussi un adepte de la douleur ... Dans d'autres circonstances. Par contre, n'allez pas l'énerver. Parce que s'il sait être froid, doux, agréable ou rieur, il peut aussi devenir agressif ou même violent. Il n'est pas facile à énerver, certes, mais ensuite il ne vaut mieux pas rester trop près de lui. C'est cette capacité à ressentir et laisser s'exprimer tout ces sentiments aussi divers soient-ils, qui le rend si humain. Certains préfèrent dire qu'il est borderline, mais est-ce vraiment ça ? Simplement différent. Mais vous aurez tout le loisir d'observer cet être étrange au fil de sa vie ici.
PHYSIQUE : Kyoharu soigne beaucoup son apparence. C’est, pour lui, une chose très importante de se sentir bien dans son corps, de se sentir beau. Il est plutôt petit pour son âge, du haut de son mètre soixante-deux, et pas très gros puisqu’il pèse tout juste cinquante kilos. Dans l’ensemble il est assez fin. Il n’est pas très musclé, mais ceux-ci sont tout de même joliment dessinés. Sa peau est pâle, souple et douce, agréable à toucher. Mais venons-en à son visage, plutôt. Fin et aux traits légèrement féminins, harmonieux. Ses yeux sont très banals, soit bruns et bridés, mais pas laids pour autant. Enfin, Kyoharu n’aime pas ressembler aux autres, c’est pourquoi il porte pratiquement tout le temps des lentilles de couleur – et aussi à cause de sa vue très mauvaise. Son nez n’est pas très gros, pas trop aplatit, très simple. Ses lèvres sont un peu pulpeuses, rosées et douces. Et n’oublions pas ses joues qui lui donnent une moue enfantine adorable. Quant à ses cheveux, ils sont – la plupart du temps – blonds et mi-longs, coiffés plus ou moins en bataille. Il est aussi très rare que le jeune homme ne sorte sans se maquiller. Kyoharu aime les choses simples mais esthétiques. « Simple mais efficace. » Il déteste paraître négligé. Le plus souvent, il porte du noir, avec des petites touches de blanc, rouge, argent ou bleu à la limite. Toujours assez sombre dans l’ensemble. Il est très soigneux et paraît toujours assez « classe ». Il aime aussi porter des bijoux. Des bagues, des bracelets, plus rarement des colliers. Et puis il est percé aux oreilles. Il désire être agréable à regarder. « Je ferais de mon corps une œuvre d’art. » Il veut qu’on se dise « il est beau » quand on le voit.
BIOGRAPHIE :
« Maman, regarde, il pleut ! » Les fines perles d'eau venaient fouetter son visage, entraînées par le vent, se confondant avec les larmes dévallant ses joues. Tout son corps était trempé, ses cheveux complètement plaqués accentuant sa mine détruite, ses vêtements rendus lourds par toute l'eau absorbée laissant voir son corps trop maigre. De violents frissons le parcouraient alors que des bourrasques l'attaquaient. Ses yeux fixaient le sol comme si c'était la plus belle chose qu'il lui fût donnée de voir dans sa vie. Peut-être. Des bandages couvraient négligement des blessures encore ouvertes. Sa tête était prêt à exploser tant les bruits de la ville l'agressaient. Il avançait d'un pas incertain à cause de la fatigue rendant sa vue trouble. Le vent le frappait avec plus de vigeur, abattant la pluie plus fortement contre sa peau, redonnant un volume certain à ses cheveux. Il s'effondre et rejoint le sol qu'il était en train d'admirer. Des cris, des bruits de pas, un attroupement autour de son faible corps. Mais il est déjà trop loin pour s'en occuper. Sur le toit de l'immeuble, on pouvait trouver plusieurs boîtes de cachets, recouvrant un lame teintée de sang, elle-même reposant sur une courte lettre.
A la personne qui lira ceci, merci.
« - Maman, maman ! J'ai vu une goutte d'eau qui ressemblait à un garçon ! - Cesse de dire des bêtises. » Depuis ce jour, depuis mes quatre ans, je me suis décallé des autres, devenant déjà un être à part. Elle, elle le savait, que cette « goutte d'eau » était bel et bien une personne réelle, je l'avais compris dans son regard. Mais elle avait vu quelque-chose qui ne m'avait pas effleuré l'esprit à ce moment-là. Elle était bien plus observatrice, et je suis fier d'être comme elle aujourd'hui. L'année de ce triste jour de pluie fût ma dernière année de scolarisation avant une longue période, elle préférait me garder à la maison, « par sécurité ». Si j'avais su. Pourtant, ça ne me dérangeais pas. Je n'avais jamais été très proche des autres, j'avais toujours préféré les fuir un maximum. Et ce côté là n'allait qu'en s'empirant. Si elle avait su.
Les années avaient passées et j'avais grandis, différement de tous les autres. Je passais mes journées à lire, écrire, jouer de la guitare, et bien sûr travailler. « Un prodige », qu'elle répétait. Je ne pouvais rien répondre, je ne connaissais pas le niveau intellectuel ou les capacités diverses des autres. Il y eu quelques rares fois où elle me demanda de sortir, parce qu'elle ne pouvait pas. Je me sentais opressé, agressé. J'avais l'horrible sensation que tous les regards étaient braqués sur moi, et inévitablement tout ça se terminait en crise d'angoisse. Et puis un jour, il est apparût, alors que j'étais dans une telle situation de faiblesse. Sa silhouette effrayante, son visage repoussant, son regard malsain, son aura imposante. J'ai eu peur, très peur. Pour une fois, ma phobie m'a sauvé. J'avais tout de même pu sentir ses mains sur ma peau, ses lèvres contre mon cou. J'étais dégoûté, et c'était de pire en pire. Au fil des années, je haïssais ce corps qu'il avait touché. Incapable d'en parler, je me laissais sombrer. Petit à petit.
Enfin, c'est ce jour, ce même jour, onze ans plus tard, que j'ai compris ce qu'elle a vu, ce garçon à sa fenêtre, qui me fixait alors que je rejoignais le sol. Il était moi, j'étais lui, tout comme cet homme était nous. Une seule phrase nous différenciait, ce fût peut-être la seule chose qui changea le déroulement de mon histoire.
Je pars vers des jours meilleurs. J'avais mal, avais-je déjà ressentis une telle douleur ? Seulement à demi-conscient, je sentais une forte présence autour de moi. Si j'en avais été capable, j'aurais sûrement fait une crise d'angoisse. Mais je ne pouvais qu'aller au fil de mes pensés, ressentant ce qui m'entourais avec incertitude. J'appris plus tard qu'une voiture m'avait sauvé, forcément cette voiture se devait de passer ici à ce moment précis, n'est-ce pas ? Et une fois mes blessures totalement guéries, elle avait insisté pour que je reprenne une vie normale. C'était trop tard, mais elle ne voulait pas accepter le fait qu'elle n'ait pas pu changer le destin. Ma phobie sociale était déjà présente, bien encrée en moi, pourtant elle n'a rien voulu entendre. C'était mieux pour moi, elle l'avait décidé ainsi, et je n'avais pas mon mot à dire. C'est donc après douze ans de scolarisation à domicile que je retournais dans un lycée.
Si ça avait été une bonne chose ? Je n'en sais trop rien. Je me suis façonné une carapace désagréable, capricieuse, colérique, imbue d'elle-même, froide et distante. Je ne voulais pas qu'on m'approche, qu'on me pose la moindre question. Tout tournait autour de ma tentative de suicide, et il faisait mine de se soucier de moi, comme si ça les intéressait ! Mais finalement, j'ai su me servir de tout ce qui se disait sur moi. La salope du lycée, voilà ce que j'étais devenu. Tout lycéen voulant connaître la sensation de coucher avec homme, tout homosexuel s'affirmant ou non ... Je me les étaient tous fait. Détesté par presque tous, j'avais pu me retrouver enfin seul, et oublier les mains et lèvres de cet homme ... Ou pas ? Oublier ce qui me dégoûte en me salissant encore plus, quelle idée !
Et dans tout ça, elle avait eu vent de qui j'étais devenu. Je l'ai vue se détruire à son tour, et pourtant je n'ai rien fait. Je savais que ça allait arriver un jour, je le savais depuis que mon père nous avait quittés. Je ne pensais pas d'ailleurs qu'elle allait rester avec moi si longtemps. Le jour de mes dix-sept ans, finalement, elle m'a quitté. Elle s'est excusée, un nombre incalculable de fois, mais m'a bien précisé qu'elle ne pouvait supporter qui j'étais devenu. Je ressemblais trop à cet homme qu'elle avait trop aimé. Sa dernière volonté avait été de m'envoyer dans ce lycée, me demandant de ne pas redevenir le même, de ne pas devenir lui.
POURQUOI ÊTES-VOUS VICTIME ? : I'm not ~
••• J'aime les personnes douces, mais je hais être approché. J'AIME/J'AIME PAS : J'aime le silence, cette absence de son que je ne peux vraiment obtenir qu'en étant seul. Et, à l'opposé, j'aime aussi écouter de la musique, souvent très forte, afin de me laisser envelopper et transporter. Je passe beaucoup de temps à observer ce qui m'entoure. Je suis resté tellement longtemps enfermé que je vois presque toujours des choses intéressantes. Je découvre le monde des années après les autres. Et malgré mon attitude froide, distante, et méfiante, j'aime la douceur. Les rares amis que j'ai eu ont pu découvrir ce côté. Mais je ne suis pas tout blanc, étant masochiste ... Et continuant de temps en temps à tenter d'oublier. Et pourtant, je déteste le contact. Si je ne veux pas coucher, alors je refuse qu'on me touche. Son souvenir revient me hanter inévitablement. J'ai peur quand il y a trop de monde autour de moi, je suis fortement sujet aux crises d'angoisse. Je me sens rapidement opressé, voir agressé. Je déteste les gens qui me parlent de mon passé, ou qui pensent me comprendre. Je déteste les gens. Je joue de la guitare depuis mes neuf ans, et écris et lis beaucoup ... Je passe le plus clair de mon temps à ça, je crois. C'est reposant, apaisant, et ça m'évite au mieux les crises d'angoisse. J'ai un étrange goût pronnoncé pour les médicaments, et j'aime fumer. Des restes de mes envies de mort, il me semble. J'aime les animaux, et, comme un enfant, leur parler. Ils sont ceux en qui j'ai le plus confiance. Petit, je voulais être panda ... Je me demande si j'ai toujours cette envie impossible. Je crois que je suis toujours un enfant ... Je me hais. Je hais ma carapace. Ai-je toujours ces envies mortelles ..?
MON SECRET : Je suis orphelin et j'ai fais une tentative de suicide. MES RELATONS : none ~ ?
••• Mon pseudo est Akumu, && voici qui je suis vraiment.PRÉNOM : none ~ ÂGE : 16 ans CONNEXION : 7/7 I'm a good geek OÙ AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? : Partenariat AVIS SUR LE FORUM : Il est bien, et j'aime beaucoup le design, le bleu, surtout x) COMMENTAIRE : Je kiff ça, refaire les fiches de présentation à ma sauce, j'espère que ça dérange pas, babe ~ CODE : Code Oki (By Sojuro) AVATAR : Matsumoto Takanori || Ruki, The GazettE
Dernière édition par Tanoshi Kyoharu le Mer 10 Juin - 12:04, édité 13 fois |
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