Des études interminable... et une rencontre?

Akiharu marchait lentement. Oui, il marchait lentement car il devenait se rendre à la bibliothèque. Il avait un gros projet d'histoire à faire pour la semaine prochaine et comme toujours il faisait ses devoirs à la dernière minute. Le fait d'aller dans une bibliothèque lui donnait la chaire de poule. Il n'aimait pas lire et il n'avais jamais aimé cela. Le jeune homme au cheveux blond s'arrêta pour regarder la télévision dans une vitrine. Eh oui, c'était un prétexte pour lui de prendre son temps pour avoir moins de temps pour sa recherche. Il recommença à reprendre sa marche. Il fallait bien qu'il s'y rend un jour ou l'autre.

Arrivé devant la grande porte de la bibliothèque municipale, il s'arrêta et lâcha un soupir. Il poussa finalement la porte pour y entrer. Le silence total. Il n'aimait pas le silence. C'est bien vrai qu'à l'école il est un élève très tranquille qui reste dans son coin sans dire un mot, mais à l'extérieur de cette prison infernal, il devenait une toute autre personne. Il devenait un jeune femme plutôt « foufou » et un peu rebelle. Il se dirigeais vers un ordinateur pour savoir où sont situé les livres qu'il a besoin. Une fois ceci terminé, il alla dans cette section et il y resta pendant une bonne quinzaine de minutes. Ce n'est pas le fait qu'il y ait beaucoup de livre qui lui prenait du temps, mais le fait que la volonté de faire son projet était loin d'être avec lui. Il pris finalement un bouquin et alla s'asseoir à une table. Il lança littéralement son sac sur la table, ce qui résonna dans la bibliothèque. Tout les regards fût rivés sur lui, mais il s'en foutait éperdument. Il sortait ses cahiers d'écriture et son coffre à crayon. Il ouvrit le livre... rien, il bloquait. Il ne comprenait rien à ce charabia. Certes, même s'il n'étudiait jamais, il avait toujours de bon résultats, mais l'histoire est la pire matière pour lui. Il n'a jamais compris quoi que ce soit. Le passé ne l'a jamais intéressé et puis la politique était loin d'être une de ses passions.

Il leva la tête. Il vit une jeune femme devant lui. Elle était jolie avec un visage qui avait l'air aussi doux que du coton. Il la fixa pendant environ 5 minutes. Il se leva et se coucha presque sur la table pour lui mettre le livre devant elle. Il pointa la page où il « avait commencé à lire ». Il lui fit un léger sourire.

-Dit moi, tu comprends quelque chose à tout ce charabia?

Il l'a fixait de son regard bleu ciel. Il déposa sa tête dans sa paume de main gauche et il restait immobile.

Comme à son habitude Shizuyo c'était mise sur une table vide... personne à observer elle pourra au moins faire son autobiographie sur Jane Austen tranquillement... Elle étais plutôt contente au moins se devoir était compréhensible se n'est pas comme la "chose" qu'avait donner le professeur de biologie. Shizuyo aimait tout ce qui avait attrait à l'art et à la littérature.

Cela fessait environ trente minutes qu'elle était arrivée à la bibliothèque et après avoir déambuler dans les différents rayonnage de la section "Littérature étrangère" Elle trouva différents livres traitant de son sujet puis elle trouva un exemplaire de "Raison et sensibilité, ou Les deux manières d'aimer" et elle décida de l'emprunter après tout elle n'avait lue que Orgueils et Préjugés elle ne pouvait pas porter une bonne critique sur un auteur en ayant lue qu'une seule de ses œuvres.

Elle était donc à sa table entrain de lire le premier livre qu'elle avait trouver sur la jeunesse de Jane Austen quand soudain un BOUM retentit et la table vibra. Elle leva a peine les yeux pour voir de quoi cela s'agissait... Un garçon. Elle rebaissa ses yeux et retourna dans sa lecture les joues rouges et très gênée. Elle n'aimait pas être seule avec des personnes qu'elle ne connaissait pas, surtout des garçons, cela l'angoissait elle avait peur que cette personne lui demande quelque chose ou juste la remarque. Elle se sentit soulagée quand le jeune homme se leva elle resta le plus immobile possible quand elle sentit une présence, vit un livre devant ses yeux et entendit:

-Dit moi, tu comprends quelque chose à tout ce charabia?

Elle leva les yeux vers le propriétaire de cette voix. Elle ne voulait y croire. Il était venu lui parler. Oh Non... En plus il la fixait avec ses yeux bleu. C'est possible pour un Japonais d'avoir les yeux bleu ? En tout cas elle trouva que cela lui allait très bien. Sans sens rendre compte elle observa. Il devait être plus vieux qu'elle. Il avait les cheveux blond, plein de percings et un joli sourire. Elle pensa qu'il ressemblait beaucoup à ses stars du Visual Kei. Elle pensa aussi qu'il était beau très beau... Trop beau et cela la gênait encore plus.

Elle décida de rompre ce contact visuel qui la gênait vraiment beaucoup et porta ses yeux sur la page qu'il pontait... La politique au Japon après 1945. De l'histoire. Elle aime beaucoup l'histoire et la seconde guerre mondiale est un sujet qu'il la passionne mais elle se demanda ce que le garçon lui voulait... Ne sachant que dire elle préféra dire la vérité.

- Oui je comprend.

Elle regardait Akiharu avec son regard doux et innocent. Il trouvait qu'elle était plutôt mignonne, mais qu'elle avait l'air plus jeune que lui. Un énorme sourire vint illuminer le visage du jeune homme. Enfin quelqu'un qui pouvait l'aider à bien faire son devoir. Il espérait qu'elle accepterait de l'aider, car disons que beaucoup de personne trouve Akiharu bizarre. Il se releva avec son bouquin, il fit le tour de la table et il alla s'asseoir à côté de la jeune femme. Il avança lentement sa main et lui dit avec un sourire:

-Moi c'est Tsukiyama Akiharu, enchanté.

Il se leva et il rapprocha son sac à dos et tout ses autres choses. Par la suite, il plaça son coude sur la table et il déposa son menton dans sa paume de main. Il la fixait. Il savait bien que beaucoup de personne n'aimaient pas être fixer de la sorte, mais chez lui c'était un tique. Il fallait qu'il observe tout le temps la personne avec qui il est. Il ne pouvait s'empêcher de décrocher un petit sourire en voyant la fille. Elle était si gênée. Cela le faisait bien rire. Il trouvait ça mignon les filles gênée, mais il ce n'est pas son genre de fille. Il mit le livre debout en équilibre et il tourna sa chaise, ce qui fit beaucoup de bruit puisqu'il la traîna. Disons que la subtilité n'est pas son point fort. Il rapprocha son visage de celui de la jeune femme et il dit d'une voix douce:

-Tu peux m'aider, j'y comprend rien.

Il plaça ses mains sur ses genoux pour mieux avoir de la stabilité. Il aimait vraiment les réactions de son interlocutrice. Il allait avoir du plaisir à la faire rougir et à la rendre mal à l'aise. Il riait bien intérieurement. Il rapprocha sa chaise sans bouger sa tête. Sa tête était à peine à trois centimètre de celle de la jeune femme.

-Heu...D'ac...cord...Ok alors...

Shizuyo était très affecter par le rapprochement de Tsukiyama-san et qui n'arretait pas de la fixer... Elle repris et essaya de contrôler sa voix.

- Après 1945... Le Japon essaye de sa reconstruire et devient indépendant... Commence alors le Nationalisme Japonais qui est basé sur... Est ce que vous pouvez arrêter de me fixer comme cela ?

La voix de Shizuyo n'avait été plus forte qu'un murmure mais elle résonna vraiment forte au oreilles de la jeune fille qui se mit a espéré que Tsukiyama-san n'avait pas entendu. Elle sentit ses joue devenir encore plus rouge qu'elle l'était déjà et elle se mit a trembler. Jugeant que osn attitude etait vraiment insolante, et qu'en plus elle ne c'etait même pas présentée elle en eut honte et decida de se faire pardonner.

-Je suis désolé Tsukiyama-san. Je suis Kagawa Shizuyo.

Shizuyo repris donc son discours avec les joues rouges mais sa voix contrôlée. Elle espérait sincèrement qu'elle n'avait pas gêner son sempai qui était très gentil avec elle. Après tout il ne la connaissait même pas il aura put être beaucoup plus méchant avec elle vu qu'elle est plus jeune. Malgré son rapprochement Tsukiyama-san mettait à l'aise la jeune fille. Elle était gênée mais cela fessait longtemps qu'elle n'avait pas parler avec quelqu'un aussi sincèrement.

Il était heureux que celle-ci ait acceptée de lui expliquer. Il l'écoutait attentivement, sans se rendre compte qu'il la fixait encore. Les mots qu'elle lui disait, lui entrait par une oreille et en ressortait par l'autre. Pourtant elle expliquait super bien. Il crispa les yeux pour rester mieux concentrer. Il avait toujours eu un peu de difficulté à se concentrer depuis son premier jour à l'école. Il entendit un murmure. Il en avait capté quelques mots: « arrêter» et « fixer ». Il détacha aussitôt son regard d'elle, mais tout en essayant de faire ça subtilement, mais tout le monde sait que ce n'est pas son point fort la subtilité. Donc, il se mit à fixer le livre, mais il trouvait dur de se concentrer en regardant le livre. Le seul fait de regarder le livre l'endormait. Il cherchait quelque chose d'autre à fixer pour mieux se concentrer, mais s'il regardait autre chose, cela pouvait le déconcentrer encore plus.

Il avait le regard en direction du livre, mais il regardait Kagawa-san du coin de l'œil. Il la vit se tourner vers lui. Elle lui dit enfin son nom. Il avait oublier qu'elle ne lui avait pas dit son nom encore, il était trop concentrer sur ce qu'elle disait. Pour lui, le faite qu'elle se présente était un prétexte pour la regarder et ralentir son temps d'étude. Il fit un petit sourire puis il s'écroula sur sa chaise. Sa le fatiguait d'avoir à étudier un sujet aussi ennuyant. Il ne voyait pas le livre d'où il était. Une pensé soudaine lui est venu.

*Si je jouais un peu avec elle.*

Il colla rapidement sa chaise sur celle de Kagawa-san et ensuite il colla son épaule sur celle de la jeune femme. Il décrocha un sourire et il la regarda encore du coin de l'oeil.

-Je vois mieux le livre comme ça.

Pourquoi il se rapproche autant cela fait plus d'une demi heure que je parle... Shizuyo était désespérée... Elle avait beaucoup de mal mais apparemment Tsukiyama-san ne s'en apercevait pas... ou le faisait exprès. La jeune fille se ressaisissait et arrêta de douter de son sempai... Sauf que plus les minutes passait et plus la jeune pris conscience de la présence du jeune homme... Elle commençait à avoir chaud...très chaud. La jeune fille reprit sont long discours elle avait presque finie... Elle se sentait étrange... toujours le même sentiment le même que tout à l'heure... Un sentiment de bien-être malgré sa gêne... une sorte d'acceptation... Pratiquement personnes ne l'écoutait ou venais lui parler. Tout les jours elle allait au lycée et tout les jours elle était invisible et elle pensait aimé sa même si elle avait la sensation qu'elle loupait quelque chose. Elle pensa que peut être elle devrait changer aller vers les autres... Non elle n'y arriverait pas... elle se ré concentra sur le livre... Puis se demanda pourquoi elle avait accepter d'aider le jeune homme alors qu'elle détester parler au autres... Parce que c'est son sempai et qu'elle est gentille elle ne laissera jamais quelqu'un alors qu'elle pourrait l'aider. Soudain elle pris vraiment conscience du corps du corps de son sempai. Elle avait déjà conscience de son sempai mais plus de ses critiques et de son regard pas vraiment de son corps... mais elle ce rendis compte de leur epaules qui se touchait et pratiquement tout leur corps c'était trop pour elle...

- Heu...J..e suis ...dé...dé..désolé je dois partir...

Elle se leva récupéra se affaires en vitesse elle commença à partir quand elle sentit quelqu'un la retenir

Akiharu se demandait pourquoi il ne comprennait absolument rien à l'histoire. Bon, il s'en foutait légèrement de cette matière, mais il devait au moins écouter Kagawa-san, c'était le minimum. Il voyait bien qu'elle se forçait à lui expliquer, mais il aimait bien a taquiner. Peu d'isntant après qu'il ait collé son épaule sur celle de Kagawa-san, elle lui dit presque en paniquant qu'elle devait partir. Il la regarda se lever et prendre ses affaires. Il prit son sac et ses cahiers et il les jeta dans son sac. Il alla rejoindre Kagawa-san et il la prit par le bras. Il la retourna et la regarda avec un sourire.

-Veux-tu que je te reconduis chez toi?

C'était la moindre des chose après qu'elle lui ait expliqué son devoir. Il resta là, figer, sans expression, mais avec un petit sourire. Il aimait bien cette fille. Mignonne, petite et douce, il la trouvait plutôt marrante. Il la lâcha et il prit la peine de placer son sac sur ses épaules.

[H-RPG: Mon dieu que j'ai honte de ce poste -____-"]

[H-RPG: Faut pas moi je le trouve bien ton poste ^0^EDIT: Par contre le mien ... ]

-Veux-tu que je te reconduis chez toi?

Après cette phrase Shizuyo se demandait quoi répondre... Que devait-elle faire, jamais elle ne s'était retrouver dans une situation pareille. Elle essayait de se rememorrer les discution de "filles" qu'elle avait eut et si elle avait une solution à son problème. Mais elle ne voyait rien elle ne savait pas quoi faire elle trouvait Tsukiyama-san très gentil mais de là à rester avec lui et se faire raccompagner... elle n'arrivait paas a se decider puis quand le jeune homme mit son sac sur ses épaule elle dit d'une petite voix.

- Oui merci c'est gentil.

Alors il sortirent de la bibliothèque et avançait dans la rue.

- J'habite pas très loin merci de me ramener... Heu mais cela ne vous dérange pas vous êtes sur sa me dérange pas de rentrer seule.

Elle accepta. Akiharu lui fit encore un sourire. Il se demandait aussi pourquoi il souriait toujours comme un idiot. Il se mit à côté d'elle et l'a suivait. Il plaça ses mains dans ses poches, il pencha sa tête vers l'arrière pour regarder le ciel et il marchait nonchalamment. Il tourna légèrement la tête quand elle lui parla.

-Mais non, sa na me dérange pas. Et puis, plus on est de fou plus on rit.

Il lui fit un clin d'œil, fit un petit rire et il remit sa tête en position initiale. Une sonnerie de fit entendre dans sa poche. Son potable. Il le sortait de sa poche et il décrocha.

-Moshi moshi.

La personne à l'autre bout du fil lui dit quelque chose qui figea sur place. Il ne répondit que par des « oui ». Il raccrocha finalement. Il rejoignit Kagawa-san. Il lui fit un petit sourire forcé et remit son portable dans sa poche.

-Je suis désolé de l'interruption, dit-il tout bas.

Son air de jeune homme enjoué et innocent se changea aussitôt en jeune homme responsable et sans expression. Ses yeux pétillants étaient devenu sombre. Il lâcha un soupir et il baissa la tête.

Quand Tsukiyama-san revient vers elle il avait un visage fermer toute sa joie avait déserté ses traits. Ils continuèrent de marcher en silence. L'ambiance était lourde. Shizuyo détestait cela. Plus personne ne parlait, cela aurait du plaire à la jeune fille étant d'une nature très timide. Mais Shizuyo n'aimait pas cette ambiance. Elle décida d'essayer de changer les choses... Mais comment ??? En faisant rire Tsukiyama-sempai ??? Nan elle en était incapable. En lui parlant ??? Mmmmh... Non sa aussi elle n'y arriverait pas... Elle continua à réfléchir... quand elle aperçue le parc ou elle adorait aller étant jeune... Super pensa t'elle avec ironie maintenant elle était presque arriver chez elle. Cette pensée la déconcerta d'habitude elle adorait retrouver la sécurité de sa chambre... Mais aujourd'hui elle ne voulait pas laisser Tsukiyama-san avec sa peine. Quand soudain l'idée qu'elle cherchait tant lui traversa l'esprit. Avec beaucoup de mal elle mit sa timidité de coté et c'est toute rouge qu'elle attrapa la main de son sempai et courut dans le sens inverse de sa maison. Elle poussa la porte du parc sans s'arrêter et continua sa course à l'intérieur du parc. Enfin elle arriva la ou elle voulait aller.

Devant eux se dressait deux balançoires l'une a coter de l'autre. Shizuyo prit une grande bouffée d'air et alla s'assoir sur une des balançoire dos à son sempai et elle se mit à parler.

- Je venait souvent ici petite quand j'étais triste ou encore quand j'en avait marre de ma vie ou de ma famille. Je sais que des fois on peut avoir de problèmes et qu'on ne peut se soulager seulement... des fois cela fait du bien d'oublier se problèmes. Je sais que je ne peux pas aider Tsukiyama-sempai et que peut-être je vous est ennuyer ou retarder peut être les deux aussi. Mais j'aurai été triste si je n'avait rien fait pour essayer de soulager votre peine.

[H-RPG: Désolé si j'ai été aussi longue mais je me suis fracturé le doigt ete j'avais mal donc je ne pouvais pas taper sur un clavier. Mais ne t'inquête pas maintenant sa va mieux et même si j'ai un peu de mal a taper à cause du platre je me débrouille]

Nous contiunions à marcher dans un silence gênant. Il ne voulait pas lui imposer sa peine ou bien ses problèmes. Il continuait à avancer la tête basse, les larmes aux yeux et la tête pleine de pensées. Ses pieds étaient rendu si lourd que les lever était un effort de trop dur. Soudain, Kagawa-san le prit par la main et elle parti en courant. Il fut surpris, mais il se laissa emporter. Il l'observait de derrière. La jeune femme qui était si gênée et réservée était rendu pleine de vie avec un beau sourire éclatant. Il acquiessa un petit sourire à peine visible. Il se demandait pourquoi elle allait du sens opposé de sa maison. Il vit au loin un parc.

Ils entrèrent comme deux enfants dans un magasin de jouets. Puis, elle l'amena aux balançoires. Akiharu s'asseya. Il l'observait avec ses yeux rouges. Ses yeux étaient pleine de tristesse tandis que ceux de Kagawa-san étaient plein de vie. Il voulu faire un sourire, mais il en était incapable. C'est à ce moment que la jeune femme au cheveux brun clair commença à lui expliquer pourquoi elle les avait amené ici. Pendant qu'elle lui parlait, il regardait le parc, le moindre racoin. Ce parc était magnifique et si vert. Il se balançcait légèrement avec ses pieds, mais ses membres inférieurs ne quittaient pas le sol.

-Merci... dis-t-il tout bas en regardant le sol. Merci, mais tu n'étais pas obligé de faire ça pour moi.

Il acquiessa un petit sourire. Il aimait bien cette jeune femme. Cela faisait à peine 2 heures qu'ils se connaissaient et il l'a prenait pour sa petite soeur. Il trouvait sa bizarre comme sensation.

[H-RPG: C'est bon, ne t'en fait as avec sa. Tu peux prendre ton temps pour répondre ;)]

Ils continuèrent de se balancer tout doucement c'est vrai elle n'était pas obliger... Quand soudain quelque chose la choqua. Elle se comportait comme une fille amoureuse... Mais elle ne l'était pas. Enfin elle l'aimait bien mais BIEN pas tout court... Un peu comme un...frère. Oui c'est sa comme un frère quand elle se mit à penser à son frère un poids tomba dans son cœur. Enfin elle essaya de ne plus y penser. Elle regarda sa montre...

- Mince... Je suis en retard... Vite il faut y aller...

Ils se levèrent et sortirent du parc et continua vers la maison de la jeune fille. Ils arrivèrent rapidement devant l'entrée de chez la jeune fille. Tsukiyama-sempai commença à aller vers l'entrée principale quand la jeune fille le tira par la manche et ils passerent par l'entrée de service. Shizuyo était un peu plus à l'aise elle observa son sempai... Il était essoufflé, à demi plier sur lui même et il tentait de reprendre sa respiration . Elle prit une grande bouffée d'air ???

- Tu veux venir boire quelque chose ???

Il était toujours assis sur la balançoire, les bras autour des chaînes et le regard par-terre. Il ne savais pas quoi lui dire. Il resta donc silencieux. Il écoutait le chant mélodieux des oiseaux et la cigale qui nous disait qu'il faisait chaud. Le soleil commençait à taper de plus en plus sur la chevelure du jeune homme. Miku se pencha et ouvrit son sac à dos, il en sorti en chapeau. Il le déposa sur sa tête et replaça ses bras autour des chaînes. Peu de temps après, Kawaga-san se leva et dit qu'elle était en retard. Akiharu se leva et la suivi.

Sa maison n'était pas bien loin, le jeune homme continuait et allait entrer par la porte principale. La jeune brune l'arrêta et l'amena à une autre porte. Sans aucun raison, Miku se mit à respirer fort, il avait de la difficulté à respirer. Il se replia sur lui même pour essayer de retrouver un peu plus de souffle, mais en vain. Un mal de ventre arriva et il commença à suer un peu plus. Elle lui proposa de boire quelque chose. Il en avait besoin... enfin c'est ce qu'il pensait. Il se demandait ce qu'il lui arrivait. Il n'avait fait aucun effort physique du parc à chez elle, seulement marcher, mais pourtant il faisait ça tout les jours. Il releva légèrement la tête vers le haut pour mieux voir son visage.

-Ou.. oui...

Il s'arrêta de parler, le « oui » suffisait, elle avait compris qu'il voulait boire et dans son était l'eau lui ferait le plus de bien. Il avait même de la difficulté à parler. Qu'est-ce qu'il lui arrivait? Il commençait à paniquer, mais il fallait qu'il se calme. Il ne fallait pas empirer son cas. Il se redressa et essayait de ne pas montrer sa douleur. Si elle posait des question, il n'aura qu'à lui répondre que c'est la chaleur et qu'il était déshydrater. Elle arrêtera sûrement ses questions là.